Archevêque de l’église catholique
Alors que les enseignants du public sont en train de trouver des solutions à leurs conditions de vie et de travail, leurs collègues du confessionnel (catholique, protestant et évangélique) vivent toujours au jour le jour sans reconnaissance de leurs droits par leurs employeurs.
Depuis quelques années, une prime de bibliothèque et de rentrée est octroyée aux enseignants du public, mais ceux du confessionnel n’en bénéficient pas. Sans affiliés à la caisse nationale de la sécurité sociale et ne bénéficiant pas d’allocations familiales, les enseignants du confessionnel tirent le diable par la queue et le singe par la langue. Ils sont estimés à plus de 3 000 personnes pour environ 400 établissements scolaires confessionnels.